Armando Arpaja

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Biografia

Arpaja est romain de naissanc. La ville éternelle inspire três tôt l’adolescent qui puise dans ce gigantesque musèe vivant amour des lignes, des formes et de leurs harmonies.
Après avoir étudié à l’Ecole de lar ornemental de Rome, il est attiré par le Grèce. L’art hellène, la statuaire surtout vont avoir un impact certain sur son art et son évolution future.
Depuis Arpaja est à la recherche constante de la perfection des formes dans leur expression plastique la plus parlante et souvent la plus inusitée, qu’elles soient celles du corps humain ou de tout autre élément pictural.
Après son séjour athénien, il prend son bâton de pèlerin et visite nombre de pays. Ses expositions se comptent par dizaines :Italie, Algérie, France,Grèce, Egypte, Maroc, Tunisie, Albanie, Jordanie, Danemark, Belgique…
L’artiste se nourrit chaque fois de la culture du pays hôte et nous en retransmet les multiples facettes, à travers une vision personelle, empreinte de l’endeignement accumulé au cours de ses pérégrinations, rétablissant un pont qui témoigne du caractère universel de la culture humaine. Arpaja est un écrivain espérantiste dont la plume sarait le pinceau.
La dizaine de tableaux qu’il présente aujourd’hui nous offre quelques aspects de son æuvre contrasée. Les thèmes varient de l’étude du corps humain à la représentation des tradition des pays visités, en passant par des sujets exprimant des préoccupations personnelles de l’artiste.
Celui-ci peint essentiellementsur bois. Il nous dit son admiration pour Pontormo, artiste italien de la Renaissance, dont l’art très personnel, en avance sur son temps et parfois incompris de ses contemporains, a imprimé une touche originale à la peinture florentine des années 1520. L’on retrouve chez arpaja certaines notes du grand maître : contrastes inhabituels de couleur et de lumière, tension physique et psychologique, effets picturaux inattendus, étrangeté, mystère et romantisme.

Arpaja est un figuratif. Le corps humain lui sert de double prétexte : rendre le modèle de l’anatomie humaine dans toute sa beauté et sa plénitude, tout en lui insufflant une âme, avec tous les questionnements qui se posent à elle. C’est ce qui fait sa modernité. L’art antique l’inspire, certes, mais il n’en récupère que ce qu’il estime utile à sa démarche créatrice, si bien que l’æuvre définitive est personalisée, actuelle et vivante.

Son "Nu" (1995) est traité vigoureusement à la spatule, son outil de prédilection, dont les traces nerveuses sillonnent ce corps couché, en so8ulignent l’anatomie et lui confèrent une impression de tension contenue. Le personnage est au repos, mais son corps respire la santé, la force et l’éenergie. Il est saisi dans un raccourci qui le rend plus compact et qui concentre et condense tout ce potentiel. Les contrastes de coleur et de tonalité augmentent la puissance du jeu d’équilibre physique et émotionnel.

Trois tableaux intitulés "El Tannara" (1996 et 1998) nous montrent des danseurs égyptiens exécutant une danse du même nom. Le fond est généralement sombre, brun, bleu-cobalt ou bleu de Prusse, Nuancé très légèrement de bleu ou turquoise, contrastant avec le costume chamarré et chatoyant des danseurs, qui tournoient dans une rotation frenétique, exacerbée par la succession stroboscopique des pans colorés de leur robe.

Le support de bois apparaît par endroits, soulignant ça et là des volumes par un usage inhabituel du clair-obscur, les zones sombres du bois surgissant de la profondeur du tableaux ; leur intensité varie en fonction de l’impulsion donnée à la spatule, dans un geste créateur spontané.

Cette technique, combinant translucidité et matière opaque revient fréquemment chez Arpaja; elle contribue à rehausser l’oeuvre en expressivité. La texture du bois est également sollicitée.Noeuds, stries,rainures et nervures sont intégrés et deviennent partie constituante de l’œuvre.

La "Mosquée bleue" (1994) et la "Femme orientale" (1988) sont nées de ses séjours en Egypte et en Jordanie. Un clin d’œil ° l’art de la Perse aintique montre son intérêt pour l’héritage du monde musulman, considéré dans l’intégralité de son histoire, depuis les origines. Arpajan’a pas de prédilection ou de jugement exclusif.Son approche des cultures est éclectique. Dans chaque héritage culturel, il y a une part de génie à exploiter par l’artiste.

Le "Marin" (1983) et le "Départ" (1985) sont des tableaux psycologiques. Le personnage du "Départ" est plongé dans une profonde réflexion. Son regard est introspectif et mélancolique.

La "chute de Beriln" se vent aussi spontanée  et authentique qu’un document photographique pris sur le vif, fixant à jamais un événement historique exceptionnel.

Le "Profil de femme" (1993) est une allégorie de la marche inexorable du temps, les lézardes du mur, envahies par le salpêtre qui décompose le matériau, nous rappellent l’écoulement de la vie et son issue ultime. Paradoxalement, l’oeuvre n’inspire ni tristesse ni angaisse. Les fissures murales deviennent un élément de décor naturel, donnant un cachet antique au médaillon. Notre imagination, bercée d’une douce nostalgie, se surprend à voyager vers les splendeurs d’un passé Révolu.

Arpaja visite notre pays pour la troisème fois et il nous a avoué son intérêt pour notre culture.

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